Mais
un jeune écrivain n'a pas du tout à améliorer Proust, ou à
perfectionner Claudel, à compléter Gide ou à apporter une petite
retouche à Valéry. Non, pas du tout. Il lui faut écrire comme si ni
Gide, ni Claudel, ni Proust n'avaient existé." (Jean Paulhan)