"C'est pourquoi le philosophe a fort peu le goût de discuter. Tout
philosophe s'enfuit quand il entend la phrase : on va discuter un peu.
Les discussions sont bonne pour les tables rondes, mais c'est sur une
autre table que la philosophie jette ses dés chiffrés. Les discussions,
le moins qu'on puisse dire est qu'elles ne feraient pas avancer le
travail, puisque les interlocuteurs ne parlent jamais de la même chose."
(D-G)