"On ne se suicide pas parce que la vie est absurde, ou parce qu'on
est abandonné. Ces raisons-là viennent après, ells sont les alibis de la
destruction et du déséquilibre. On ne devient pas fou par désespoir.
Mais quand le grand fleuve de vie est tari, soudain, quand vient à
manquer la sudation inconnue qui nourissait l'ensemble des pensées,
quand ce rythme, ce sang, cette douce résistance intérieure s'est
interrompue, alors seulement l'homme doit mourir."
Bref, quand on est épuisé.